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Mittwoch, 16. August 2023

Gustave Aimard: Les Trappeurs de l'Arkansas, illustré par Alfred Darjou, Quatrième Partie

 


Allons! allons!vieux cachalot parez votre barque.

 
Ainsi vous me fusilleriez?

 
Vous ètes mon prisonnier, monsieur.

Les habitants abandonnèrent leurs maisons et sauvèrent dans la campagne.

 
Qui êtes -vous, vous qui prétendez me dicter des lois?


Les soldats s'étaient étendus à plat ventre dans les broussailles.
 

Le combat se fit plus terrible et plus acharné que jamais.


Un peu en arrière de ces cavaliers venait un Peau-Rouge.


Le Cerf-Noir aspira deux fois encore la fumée.
 

Un Indien entra, cet Indien était le Cerf.Noir.


Il s'élança avec elle sur son cheval.


Les assistants éclatèrent en applaudissements et en cris de joie frénétiques.


Il lui versa dans la bouche la valeur d'un bon verre de rhum.


Ces hommes étaient des pirates des prairies.


Je passe le premier pour vous enseigner la route.

Qui, dit-il d'une voix brève, je suis le Scalpeur-Blanc.


Vous oubliez Dieu, mon fils!

Tout à coup le rideau du calli se souleva.


Le Coeur-Loyal lança le lasso.


Il ne restait plus qu'à se faire tuer bravement.


La Panthère-Bondissante fut attaché au poteau.


Il entrevoyait les silhouettes sinistres des bêtes fauves.


Dans leur fuite un grand nombre d'autres partisans étraient venus grossir leur rangs.


Tout à coup apparut un peleton de lanciers commandé par un officier.


Les cavaliers tristement accroupis devant les feux causaient à voix basse.


Merci, frère! répondit-il en saisissant la main de John Davis.


Je vous condamne à vivre avec les bêtes fauves.


Notre petite caravan se mit en marche.


Ah! s'écria le Cerf-Noir, avec un geste de triomphe: Le Renard-Bleu est mort, enfin!


Parfois, il demeurait des heures entières debout, les bras croisés.

Et se renversant en arrière, il rendit le dernier soupir.

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