Osvaldo Tofani fait ses débuts à L'Illustration comme dessinateur au milieu des années 1870. Ce « maître du crayon » comme aimera à le qualifier la critique trente ans plus tard, avait commencé un apprentissage en tant que typographe chez un imprimeur florentin. Marc, le patron de l'Illustration repère ses premiers dessins dans un numéro de L'Illustrazione universale publié à Milan en 1874.
Peu à peu, il collabore à de plus en plus de journaux. Ses premières de couverture pour Le Petit Journal illustré gravées avec précision par Fortuné Méaulle sont aujourd'hui mythiques. Son travail est également visible dans L'Actualité, Le Monde illustré, Le Figaro illustré, Le Tour du monde, mais aussi dans des magazines humoristiques comme Le Rire ou étrangers comme The Graphic.
Au début des années 1900, il contribue plus spécialement pour Le Pèlerin et les diverses publications populaires de Jules Rouff, comme Les Faits-divers illustrés.(Wikipedia)
Courbé en deux, tenant aux dents un long couteau qui brillait dans le clair-obscur, il attirait la brebis entre ses genoux. Lorsqu'il l'y eut assujettie, il la prit par la tête, lui fit tendre le cou et l'égorgea.
Un huissier vêtu de noir, portant au cou une chaîne d'argent, ouvrit les deux battants de la porte du salon d'attente et annonça: —Son excellence le baron de Graün! Murph, sans se déranger de son occupation, salua le baron d'un geste à la fois cordial et familier.
Un petit fiacre bleu, à stores baissés, s'arrête devant chez nous.
Tenez, quand M. César Bradamanti est monté sur sa bête avec son habit rouge à revers jaunes et son chapeau à plumet, on paierait pour le voir; car, parlant par respect, il ressemble àJudas Tscariote avec sa grande barbe rousse.
Cinq enfants en bas âge, la mère au lit, presque mourante, la grand'mère idiote ; et pour nourrir tout ça un homme qui ne mange pas du pain tout son soûl en trimant comme un Nègre...
...et il distingua vaguement, par l'étroite ouverture, le bout relevé d'un petit nez couleur de rose et un grand oeil noir vif et curieux ; mais, comme il ralentissait le pas, la porte se ferma brusquement.
Toutes les fenêtrcs de cet immense hôtel brillaient éclairées dans la nuit noire : une haie de laquais en grande livrée s'étendait depuis le péristyle et les antichambres jusqu'aux salons d'attente, où se trouvaient les valets de chambre : c'était un luxe imposant et royal.
Rodolphe offrit son bras à l'ambassadrice et entra avec elle dans les autres salons, pendant que le comte de *** s'entretenait avec le baron de Graûn et Murph, qu'il connaissait depuis longtemps.
Après avoir quitté le jardin d'hiver avec la comtesse de ***, Rodolphe avait parcouru en vain plusieurs salons, dans l'espoir de rencontrer M""" d'Harville seule. Il revenait à la serre chaude, lorsque, un moment arrêté sur la première marche de l'escalier, il fui témoin de la scène rapide qui se passa entre madame d'Harville et M. Charles Robert après la détestable plaisanterie du duc de Lucenay.
Sarah, assise de l'autre côté du massif qui cachait entièrement Rodolphe, causait en anglais avec son frère Tom.
Cinq heures sonnaient à l'église du petit village de Bouqneval : le froid était vif, le ciel clair; le soleil, s'abaissant lentement derrière les grands bois effeuillés qui couronnent les hauteurs d'Écouen, empourprait l'horizon, et jetait ses rayons pâles et obliques sur les vaste plaines duities par la gelée. Aux champs, cha,que saison offre presque toujours des aspects charmants.
Bientôt l’abbé quitta la ferme appuyé sur le bras de Fleur-de-Marie, qui réglait son pas léger sur la marche lente et pénible du vieillard.
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