Ernest Clair-Guyot
LA RÉDEMPTION
Docteur, demanda-t-il d'une voix de plus on plus faible, combien de temps me reste-t-il à vivre?
Les deux hommes se saluèrent.
LE DEBARQUEMENT
I1 faut pourtant que je vous rende compte de ma commission, répliqua naïvement le colosse.
LA LETTRE
Yous'me trouvez faible, n'est-ce pas? — Un peu.
Une fraîcheur délicieuse régnait sous ce couvert.
TETE-A-TETE
Soyez le bienvenu dans le château de mes pères, capitaine Noël.
LE TESTAMENT DU COMTE DE CASA-REAL
Elle avait placé sur le pupitre la première partition qui lui était tombée sous la main.
LES PASSAGERS
Tout près de cette embarcation gisaient quatre hommes sans mouvement.
11 avait été frappé en pleine poitrine de deux coups de stylet.
DANS LA CHALOUPE
Pitié! pitié! s'écria-t-il en sanglotant, ne me laissez pas mourir ainsi... arrêtez-vous...je vais couler.
LE BRICK
On vit le capitaine lui ouvrit les bras, sans crainte de mouiller son uniforme..
PASSE-PARTOUT'
LA. FIDÉLITÉ GAÉLIQUE
Ges deux volumes, notre homme devait les savoir par coeur.
Le père Pinson se chargea do sa conduite jusque sur le palier.
C'étaient des soupirs, dos sanglots à fendre l'âme.
OU ROSETTE COMMENCE SON HISTOIRE
Me prenant dans ses bras, il m'emporta, c'est à peine si j'osais respirer.
OU L'HONNÊTE HACHURÉ REVIENT SUR L'EAU
Un cri de surprise s'échappa de ma bouche : derrière l'arbre gisait une petite fille.
GOMMENT ROSETTE FINIT SON HISTOIRE
Il tombait de l'eau à torrents et nous étions sans parapluie.
LE PETIT LEVER DU COMTE DE WARRENS
Si vous bougez, j'enfonce ce couteau jusqu'où manche.
LA COMTESSE HERMOSA DE CASA-REAL
UNE EXPLICATION ORAGEUSE
Aux pieds de la femme un homme se tenait agenouillé.
UN INTÉRIEUR CRÉOLE.
Oh! cher comte, pas de galanteries, ou je les prendrai pour des faux-fuyants.
LE COMTE DE WARRENS
OU CHARBONNEAU VEUT FAIRE OUBLIER COQU1LLARD
DE CHARYBDE EN SCYLLA
Anita, sans demander d'autres explications, avança un tabouret aux pieds de sa maîtresse.
M. BENJAMIN
Mademoiselle, j'aurais deux mots à vous dire avant d'aller plus loin.
APRÈS LA LIONNE, LA GAZELLE
JOURNAL D'UNE JEUNE FILLE. — UN MÉNAGE PARISIEN
Elle aida Mme de Casa-Réal à revêtir son costume masculin.
Un chàle lui a été jeté adroitement sur la tète de façon à l'empêcher de crier.
JOURNAL D'UNE JEUNE FILLE (suite). — DÉBUTS DE KIRSCHMARK DANS LA BANQUE
L'enfant tenait un journal et épelait.
LA PISTE DE M. JULES
Elle se roula aux pieds de cet homme.
LA CONTRE-PISTE DE RIFFLARD
Regarde-le bien et souviens-toi, c'est l'assassin de ton père.
OU M. JULES N'Y EST PLUS DU TOUT
Cet homme, pâle comme un cadavre, dormait d'un sommeil profond.
— No joue pas ce jeu-là avec moi, mon petit, il t'en cuirait.
EN PLEIN PARIS, PLEINE BRETAGNE
La porte s'ouvrit sans le moindre bruit.
AU LAPIN COURAGEUX!...
La table sur laquelle s'appuyait le vicomte était encore servie.
— Enfants soyez bénis, dit-il avec solennité.
Son compagnon lui répondit entre deux bouchées : — Lui, je ne sais pas, mais eux, oui!
OU LA COMTESSE DE CASA-REAL NE SA1T PLUS DISTINGUER LE BLEU DU NOIR
Un spectacle de désolation et de sang s'offrit à sa vue.
— Démon! murmura-t-elle avec stupéfaction.
Deux minutes après la comtesse y était déposée.
— Bon! il est. en haut! s'écria Mouchelle..
OU M. P1QUOISEUX FAIT UN JOLI PLONGEON
Puis le corps tout entier du gracieux Picquoiseux sortit vivement.
— Tu as cinq minutes, riposta l'impassible inconnu.
Elle tournait le dos à la porte.
LE DUC MAGE ET LE BARON KERNOCK
— Pour Dieu ! plus ce nom-là...
Nous le jurons, dirent-ils tous les doux.
— Après? après? cria le comte fébrilement.
UNE HYÈNE PRISE AU PIÈGE
— Toutes réflexions faites, rien ne m'oblige à vous apprendre le motif de ma présence.
MOUCHETTE TÉNOR LÉGER
— Madame la comtesse daignera-t-elle me donner quelques minutes d'audience ?
Mouchette le poignard d'une main, son revolver de l'autre, attendant le moment propice.
CE QUE PEUT CONTENIR LE PIED D'UNE TABLE MOYEN AGE
Hervé se mit à'scier le pied do l'immense table avec une ardeur sans égale.
VAINQUEURS, MAIS VAINCUS!
Edmée, reprit le comte on pressant la jeune fille sur son coeur, vous êtes vaillante,vous m'attendrez.
LE RÉCIT DE LA CIGALE
Un seul homme se tenait au fond de la. grotte.
Il n'y avait pas à douter, c'est là que se trouvait le capitaine.
LUC1LE GAUTHIER
LUC1LE GAUTHIER
Une femme se tenait immobile sur le seuil de la porte.
A LA LIMACE
La jeune femme, assise devant un guéridon, cousait à la lueur d'une lampe.
MOUCHETTE SE DESSINE
LE PRISONNIER
Au bout do quelques minutes elle revint avec du café.
UN AMI INCONNU
LA DERNIÈRE ÉTAPE
LA FERME-PRISON.
Un homme vêtu de noir lui tâtait le pouls.
Pendant quelque temps les deux troupes marchaient silencieusement dans l'obscurité.
LE BRICK « L'ÉCLAIREUR »
UN NOUVEAU SERVITEUR
La Cigale le gronda doucement et le prit dans ses bras.
FRÈRE ET SOEUR.
Tu es Breton ? — Et Breton bretonnant.
EN CALIFORNIE
OU LE COMTE DE MAUCLERC REVIENT SUR LE TAPIS
Qu'avez-vous, mon ami? lui demanda son compagnon.
LE BRICK « L'ÉCLAIREUR »
De ce monticule le jeune homme examiuait attentivement la prairie.
Edmée, vous êtes mon bon ange !
PLOMB BRETON CONTRE ACIER MEXICAIN
Celui-ci leva son poignard.
OU L'ON VOIT QUE, SI L'AMOUR EST AVEUGLE, SOUVENT SES TEMPLES SONT BORGNES
Les voyageurs s'avancèrent lentement.Il était brisé de fatigue, mais grâce à sa diligence il arrivait à temps.
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